El-Amal signifie l’espérance en Arabe.
C’est le point de départ, l’espoir.
Des vies brisées, jetées dehors, à la rue, sur la route, qui survivent par espoir.
Espoir de travailler, ne plus voler et se ranger.
Espoir de retrouver sa femme, de rencontrer l’enfant qui vient de naître.
Espoir d’épouser l’homme aimé, fut-il au bout du monde.
Espoir de retrouver le père de son fils parti seul sur la route.
Espoir de fuir, demeurer seul, d’oublier son passé, de ne plus être, par lui, rattrapé.
Cinq personnages, jeunes.
Ils sont à la rue, ils s’unissent pour aider une jeune femme à passer en Angleterre.
Cette jeune femme c’est leur miroir à chacun, en l’aidant à réaliser son rêve, ils réalisent le leur.
Ils n’ont plus de famille, de maison, d’amour, ils sont tout ça les uns pour les autres, ils se choisissent, ils sont les femmes, les maris, les frères, les sœurs, les enfants, le foyer qu’ils n’ont plus.